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LES MERVEILLEUX VOYAGES DE ROBERTO-PART 1 
 
 
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EPISODE 48. QUE LA JOIE SOIT AVEC NOUS !

QUATRIEME PARTIE DE LA PIECE INTEGRALE " Escale à Saint-Michel" (éalement illustrée par les élèves dans le cadre du concours - FIN AUTOMNE 2010) que l'on peut découvrir en lecture (CLIQUEZ SUR LE LIEN !) 
 
 
 
 
Titre : Le Merveilleux voyage de Roberto et Miss Maryl 
 
Dans  
 
« Que la joie soit avec nous ! » 
48-ième épisode 
 
 
 
EPISODE 48 : « Que la joie soit avec nous ! » (2010)  
Quatrième partie de la pièce « Escale à Saint-Michel » 
 
 
« Que la joie soit avec nous ! » est la Quatrième partie de l’épisode 6 qui porte le même titre « Escale à Saint-Michel », épisode 6 issu de la série intégrale 4 (Part 1) qui a pour titre « Roberto et le miraculeux voyage de l’Amour » comportant 99 épisodes.  
 
 
Les épisodes 45 (Partie 1), 46 (Partie 2), 47 (Partie 3) et 48 (Partie 4) et 49 (Partie 5) - (Tome 13) sont issus de la pièce intégrale : " ESCALE A SAINT-MICHEL". 
 
 
Les épisodes 39 à 66 (Tome 13) sont extraits de la série intégrale «3 « Les Merveilleux Voyages de Roberto et Miss Maryl » comprenant 95 épisodes. 
S’agissant également de la « série 13 » qui regroupe 7 pièces de théâtre écrites entre 2010 et 2011 d’après la mini-série théâtrale « LES COMPAGNONS BALLADINS ET LA MIRACULEUSE PLUME D’OR » 
 
 
PROTECTION SACD (Société des Auteurs Compositeurs Dramatiques) 
 
 
AUTEUR : Emilien CASALI -  
Email : casali-emilien1@orange.fr 
 
 
http://emiliencasali.populus.ch/ - http://compballadins.populus.ch/ 
 
 
 
 
 
PROLOGUE 
 
L’action se déroule sur la petite place du Mont-Saint-Michel sur laquelle des comédiens représentent une pièce de théâtre devant une foule de touristes armée d’appareils photos miniaturisés très sophistiqués d’où jaillissent des milliers de flashs en direction de la scène sur laquelle repose une goélette… 
 
Les comédiens évoluent sur le pont d’une goélette laquelle repose sur une estrade…  
 
Nous sommes en 2040… La scène jouée par les comédiens se déroule pendant la Renaissance en l’an de grâce 1510… 
 
Non loin de là, un homme et une femme cagoulés assistent à la scène, placés sur un trône… 
 
La foule hurle de rire devant le numéro du bouffon qui s’en donnent à cœur joie… 
 
Le vieux Leonardo (longue barbe blanche), peint la scène de théâtre sur une grande toile qui repose sur un chevalet à l’aide de a longue plume en cristal... 
 
LARISA, surgit d’une petite ruelle avec une grosse loupe à la main, en compagnie d’un vieil homme (canne à la main) 
Les moines m’ont dit de me rendre sur la place publique. Avec un peu de chance, je trouverai des indices importants. 
 
LE VIEIL HOMME (un chapeau noir sur la tête) 
Êtes-vous bien certaine de pouvoir trouver un trésor miraculeux au milieu de cette foule de badauds, Madame ?  
 
LARISA, qui s’avance en épiant les moindres recoins à l’aide de sa loupe 
Mon petit doigt ne me trompe jamais.  
 
LE VIEIL HOMME (un chapeau noir sur la tête) 
D’où venez-vous exactement ?  
 
LARISA, qui s’avance en épiant les moindres recoins à l’aide de sa loupe 
Je suis de Roumanywood « le pays où les enfants croquent la vie joyeusement ». Là-bas, je tente de perpétuer une tradition qui veut que la joie règne encore pour des siècles et des siècles. 
 
LE VIEIL HOMME (un chapeau noir sur la tête) 
Voilà qui est fort réjouissant à entendre, Madame… aussi, je prie le ciel afin que vous puissiez trouver votre bonheur ! 
 
LARISA, qui s’avance en épiant les moindres recoins à l’aide de sa loupe 
Mille excuses, je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Larisa. J’exerce le métier de professeur de français dans mon pays.  
 
 
LE VIEIL HOMME (un chapeau noir sur la tête) 
C’est un noble métier.  
 
LARISA, épie les moindres recoins à l’aide de sa loupe 
J’adore enseigner la langue. Figurez-vous que c’est mon professeur qui m’a donné goût à ce métier où l’on passe la majeure partie de son temps en compagnie des enfants, un pur bonheur au quotidien même si parfois c’est difficile. J’étais une jeune fille à l’époque. J’avais 14 ans. Mon professeur nous faisait faire toute sorte d’exercices afin de nous communiquer sa passion pour la langue de Molière tels que des concours d’illustrations ou bien encore des concours de poésies. D’année en année, je prenais goût à cette matière. Je m’en souviens comme si c’était hier. Ces différents concours étaient à l’origine proposés par un monsieur très spécial qui souriait toujours sur ses photos qu’il nous adressaient à longueur de journée… je ne me souviens plus vraiment de son prénom !?... si ce n’est qu’il portait un chapeau magique sur la tête… un peu comme le vôtre… avec lequel il faisait plusieurs tours de passe-passe. C’était plutôt amusant. En tous cas, ce fut une aventure très originale qui nous permis de progresser en langue française. C’est d’ailleurs au cours du concours de poésie de l’automne 2010 que des élèves créèrent des œuvres poétiques littéraires miraculeuses. Le résultat du concours s’effectua à la veille de Noël… 
 
FIN DE L’EPILOGUE 
 
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ACTE 1 / SCENE 1 
 
LE VIEIL HOMME (un chapeau noir sur la tête) 
En ce temps-là, j’avais exactement l’age que vous avez aujourd’hui. Mon  
Dieu que le temps passe vite !  
 
 
LARISA, épie les moindres recoins à l’aide de sa loupe 
Mais hélas, ce trésor, et je ne m’explique pas pourquoi, fut dispatcher un peu partout sur le Mont-Saint-Michel. La semaine dernière, j’ai promis à mes élèves de leur rapporter ce joyeux trésor à mon retour de vacances, un témoignage extraordinaire de mon passé culturel en classe de français.  
 
LE VIEIL HOMME (un chapeau noir sur la tête) 
J’espère de tout cœur, qu’au cours de votre séjour sur le rocher, vous  
pourrez mettre la main dessus. 
Larisa et le vieil homme s’arrête un instant devant la scène où s’illustre Triboulet (le bouffon du roi François premier ) et le Chevalier de la Bouche-En-Bié, une corne sur la tête et un sceptre dans une main  
 
TRIBOULET (LE BOUFFON DU ROI), tenant une ombrelle à la main 
Puis-je être utile en quoi que ce soit à Monsieur l’andouille ?  
 
 
 
LE CHEVALIER DE LA BOUCHE-EN-BIE (Une corne sur la tête), un sceptre dans une main  
Tu vas commencer par déguerpir le plancher, bouffon, avant que je ne te fasse manger la barre du navire. (Il le prend par l’oreille et l’entraîne vers la cabine) Et que je n’entende plus jamais parler de toi et de tes pitreries pendant toute la durée du voyage en mer du Nord.  
 
TRIBOULET (LE BOUFFON DU ROI), revient, l’ombrelle rose à la main  
Et moi qui faisais de mon mieux pour rendre votre retour des plus agréables, beau Chevalier.  
 
LE CHEVALIER DE LA BOUCHE-EN-BIE (Une corne sur la tête), un sceptre dans une main  
Qui ? Que ? Quoi ? Qui ça ? Tu es encore là à m’épier, Triboulet ? Ton odeur m’incommode. Que je ne m’en plaigne pas aux oreilles de Notre Majesté, sans quoi, sans quoi ce dernier te fera pendre par les pieds et te fera dévorer par les cochons. 
 
TRIBOULET (LE BOUFFON DU ROI), l’ombrelle rose à la main, sort une bouteille de Champinelle de son chapeau 
Mon cousin n’en fera rien. Il a beaucoup trop besoin de mes bouffonneries pour distraire le peuple. Puis-je vous suggérer une bonne bouteille de vin en attendant la prochaine lune, mon beau Chevalier.  
 
LE CHEVALIER DE LA BOUCHE-EN-BIE (Une corne sur la tête), un sceptre dans une main, lui arrache la bouteille des mains  
Je peux savoir ce que faisait cette bouteille dans ta poche, misérable ?  
 
TRIBOULET (LE BOUFFON DU ROI), tenant une ombrelle à la main 
Mon petit doigt m’a dit que Monsieur l’andouille était un grand amateur de vin.  
 
LE CHEVALIER DE LA BOUCHE-EN-BIE (Une corne sur la tête), un sceptre dans une main et une bouteille dans l’autre  
J’ignore qui est cette andouille à laquelle tu fais allusion, bouffon de la pire espèce,... néanmoins, je finirai bien par le démasquer et il verra de quel bois je me chauffe à l’aide de mon sceptre. Maintenant, il est vrai que j’accorde à ton petit doigt un goût très prononcé pour les saveurs de la vigne, et d’autant plus lorsqu’il s’agit pour ton petit doigt de dénicher de bonnes bouteilles de vins produites dans ma propriété basée en languedoc. Je vois que tu sais flatter le palais du plus fin connaisseur Veux-tu bien disposer, je n’ai plus besoin de toi et de tes pitreries à trois sous qui ne m’amusent guère.  
 
TRIBOULET (LE BOUFFON DU ROI), tenant une ombrelle à la main, se saisit de la bouteille et y plonge son nez  
Un instant, Chevalier ! Mon nez semble réjouir de toutes ces saveurs du sud de la France. Voyez plutôt ! (Il tend l’oreille) Entendez-vous ce chant de cigales et ce sifflet de rossignoles se gausser à l’intérieur de cette bouteille.  
 
 
 
LE CHEVALIER DE LA BOUCHE-EN-BIE (Une corne sur la tête), un sceptre dans une main et une bouteille dans l’autre  
Voilà qu’il me prend pour une andouille à présent. S’en est trop ! Déjà que je tolère tes pitreries grotesques, maintenant faut-il encore que je me fasse berner. (Il lui tire l’oreille) Car si j’ai bien tout compris, Monsieur le bouffon se permet de fouiller dans ma cave à vin alors que j’ai le dos tourné. Vraiment, je ne sais ce qui me retient de te dénoncer au roi François. (Il quitte les lieux en entraînant le Bouffon par l’oreille)  
 
La foule applaudit… 
 
FIN DE LA SCENE 1 
 
 
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ACTE 1 /SCENE 2  
 
 
LARISA, poursuit son chemin en épiant les moindres recoins à l’aide de sa loupe, accompagné du vieil homme son chapeau noir à la main 
Aujourd’hui, j’attends un signe du destin. Ce n’est pas la première fois que je tente cette expérience… déjà à l’époque… 
 
LE VIEIL HOMME (son chapeau noir à la main qu’il secoue) 
Et quand cela a-t-il réellement commencé, Madame Larisa ? 
 
 
LARISA, rentre dans une petite ruelle sa loupe à la main, suivi du vieil homme 
Je me souviens de cette histoire dans les moindres détails. Cette histoire a commencé il y a tout juste 30 ans. Les fêtes de Noël approchaient et les enfants de ma classe étaient tout excités à l’idée de partir en vacances. Il faut admettre que le Père Noël fait toujours l’effet d’une pilule en cette période de fin d’année. (Un temps) Tandis qu’au même moment, à 3000 kilomètres de chez nous, de curieux évènements se produisaient dans la Manche,… plus exactement dans la baie du Mont-Saint-Michel… ce fut un soir où le soleil avait rendez-vous avec la lune. En quelques secondes, la marrée surgit au galop et recouvrit la plaine sableuse qui entoure la cité sur le rocher. Les Compagnons Balladins, qui voyageaient depuis quelques années à bord d’une magnifique goélette, jetèrent l’ancre dans la baie pour y faire escale.  
 
LE VIEIL HOMME, (son chapeau noir à la main qu’il secoue) 
Quelque chose m’intrigue tout de même ?! Comment connaissez-vous  
cette histoire ?  
 
 
LARISA, marche dans la petite ruelle sa loupe à la main, suivi du vieil homme 
Où plutôt qui m’en a parlé ? (Un temps) Je vous l’ai dit, je n’en suis pas à ma première tentative. En vérité, c’est une très bonne copine de classe qui m’a mis la puce à l’oreille. Elle faisait également partie du voyage à l’époque. Depuis, on ne s’est jamais vraiment quittées toutes les deux, et bien que nous n’ayons pas pris la même voie professionnelle, nous sommes restées malgré tout fidèles en amitié. Toujours est-il que Mademoiselle Alina « C » Wonder Plume était au courant pour le fameux trésor qui appartenait à nos amis de la classe, en partie seulement,… puisqu’en dehors de ma classe de Craiova, celles de Biled, de Targoviste et de Cernavoda étaient également impliquées dans le projet. En effet, mes petits amis de l’époque confièrent leur trésor à Madame Maria « M », mon professeur de français, qui le planqua au milieu de son jardin fleuri. Or, deux jours plus tard, lorsque celle-ci revint sur ses pas pour s’émerveiller devant le trésor de ses joyeux élèves, celui-ci avait complètement disparu.  
 
LE VIEIL HOMME, (son chapeau noir à la main qu’il secoue) 
Mais qui donc a pu commettre ce délit ? Avez-vous une idée ?  
 
LARISA, marche dans la petite ruelle sa loupe à la main, suivi du vieil homme 
Je soupçonne Anabella d’en être l’auteur. Bien que je n’en sois pas certaine !? 
 
LE VIEIL HOMME, (son chapeau noir à la main qu’il secoue) 
Qui est Anabella et que vient-elle faire dans cette aventure ?  
 
LARISA, marche dans la petite ruelle sa loupe à la main, suivi du vieil homme 
C’est la chatte gris rose bonbons de Madame Maria « M ». En ce temps-là, elle tournait beaucoup autour de Roberto, ce qui n’était pas du goût de la colombe qui voyait cela d’un mauvais œil. 
 
LE VIEIL HOMME, (son chapeau noir à la main qu’il secoue) 
Votre histoire n’est pas très claire. Je ne comprends pas ce que faisait Anabella avec Roberto dans la Manche alors qu’au même moment, celle-ci était sensée vivre bien au chaud auprès de sa maîtresse à Craiova ?  
Vous admettrez que quelque chose ne colle pas !? 
LARISA, marche dans la petite ruelle sa loupe à la main, suivi du vieil homme 
 
 
Alina « C » laissait entendre dans la cour de l’école à qui voulait bien tendre l’oreille que la chatte avait le pouvoir d’apparaître et de disparaître dans le chapeau noir de Roberto comme par magie. J’ignore comment elle faisait !? (Un temps) Mademoiselle Anabella adorait les poèmes que lui récitait sa maîtresse les soirs d’automne, laquelle en profitait pour faire des petites corrections,… quant elle ne les traduisait pas directement en français ou en roumain. A plusieurs reprises, sa chatte tenta de lui chiper ses poèmes lorsque la nuit tombait. C’est pourquoi, j’ai l’intime conviction que la féline y est un peu pour quelque chose dans cette histoire.  
 
FIN DE LA SCENE 2 
 
 
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ACTE 1 /SCENE 3  
 
 
LE VIEIL HOMME, (son chapeau noir à la main qu’il secoue) 
Pensez-vous pouvoir un jour résoudre cette énigme ?  
 
LARISA, disparaît au fond d’une ruelle sa loupe à la main, suivi du vieil homme 
Vous savez… de nos jours, ce serait impossible de trouver des preuves pouvant accabler la chatte de mon professeur, certaines preuves ont  
disparu depuis. 
 
LE VIEIL HOMME, (son chapeau noir à la main qu’il secoue) 
Alors comme ça, vous dites que vous n’en étiez pas à votre première tentative.  
 
LARISA, disparaît au fond d’une ruelle sa loupe à la main, suivi du vieil homme 
Nous étions à la veille des fêtes de Noël, je sortais de l’école et marchais d’un pas tranquille dans les rues de Craiova lorsque mon pied heurta un écrin que j’ouvris aussitôt. L’écrin renfermait une bague en cristal que je ne cessai de contempler tant elle était magnifique. C’est alors qu’une douce clarté envahit mon visage. Puis, la bague se mit à m’adresser la parole : « Apparaître et disparaître, tel est le pouvoir de cette bague ! Enfile-moi à ton doigt et je te conduirai là où se trouve le miraculeux trésor de la joie ! » J’exécutai aussitôt ses ordres. Ensuite, je m’endormis sur le trottoir. Le lendemain matin, je me réveillai dans les rues du Mont-Saint-Michel une loupe magique à la main. La bague avait disparu de mon doigt. Néanmoins, je me souvins de ce qu’elle m’avait dit la veille et me mis rapidement en quête du fameux trésor dans les ruelles de la cité…  
 
Un nuage de fumée rose envahit les lieux… 
 
 
 
FIN DE LA SCENE 3 
 
FIN DE L’ACTE 1 
 
 
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EPILOGUE 
 
Le nuage de fumée rose se dissipe… 
 
L’action se déroule sur la place principale du Mont-Saint-Michel (pas très loin de l’église) à la veille de Noël en l’an 2010…  
 
De nos jours… 
 
Quelques lampadaires éclairent la place…  
 
On aperçoit « L’auberge de la Mère Polard »  
 
Alina « C » Wonder plume (papillon multicolore) et Diana « C » volent au dessus des bâtiments main dans la main en laissant traîner derrière elle une guirlande… 
 
Sur la place, un combat est engagé entre le Comte (sa canne à la main) et Alina « D » (sa plume à la main) 
 
La neige tombe… 
 
ALINA « D », frappe le Comte avec sa plume 
Andouille toi-même !  
 
LE COMTE, s’agite avec sa canne 
En joug, petite !  
 
LA COLOMBE, vole au dessus d’eux 
Mettez-la en veilleuse, Monsieur le Comte, vous allez réveiller les habitants du Mont-Saint-Michel. Et puis, voulez-vous bien laisser cette petite tranquille !  
 
LE COMTE, agite sa canne en direction de la colombe 
Mêle-toi de tes oignons, madame la colombe !  
 
LA COLOMBE, agite ses ailes devant le Comte 
Le tapage nocturne est interdit en ville.  
 
LE COMTE, agite sa canne dans sa direction 
Les habitants n’ont qu’à se boucher les oreilles. Ote-toi de mon passage ou je te rentre dans les plumes. 
 
ALINA « D », grimpe sur son épaule la plume à la main 
Laisse-la tranquille, andouille, sinon c’est moi qui vais t’emplumer ! 
 
MISS MARYL, s’interpose entre le Comte et la colombe  
Un peu de calme, Christophe Rodolphe « et j’en passe ! »  
 
SYLVESTRE 
Je trouve cette andouille bien agité ces temps-ci.  
 
MARTISOARA (cheveux roux tressés), l’ombrelle à la main 
Il va falloir que votre ami se calme un petit peu.  
 
ANA MARIA « C »  
Ma copine attend des excuses, Monsieur le Comte. 
 
LE COMTE, la menace avec sa canne 
Je regrette, mais c’est elle qui m’a menacé en premier.  
 
LA COLOMBE 
A l’aide ! Le Comte a perdu sa « zen attitude » ! Qu’attend le clown pour agir ? Mais où est-il passé celui-la ? 
 
Un blanc manteau de neige recouvre la place…  
 
FIN DE L’EPILOGUE 
 
FIN DE L’EPISODE 48 
 
A suivre : « Bianca Poids-Plume » (Episode 49) 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

(c) emilien casali - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 14.09.2019
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